Avec cette année qui s’annonce plus encourageante que la dernière, votre niveau de confiance est à la hausse et vous vous promettez de faire des efforts pour injecter une bonne dose de vitamines à votre épargne. Il s’agit là d’une excellente résolution et le compte d’épargne libre d’impôt (CÉLI) pourrait bien devenir la solution qui vous aidera à la tenir! Puisque ce véhicule de placement vous permet de générer des revenus exempts d’impôt, c’est l’outil rêvé pour faire fructifier l’argent que vous mettez de côté en vue de concrétiser des projets à moyen ou long terme. Que vous cherchiez à économiser pour acheter une maison, vous constituer un fonds d’urgence pour faire face aux imprévus ou accumuler des fonds pour votre retraite, le CÉLI est le choix tout désigné. Voici cinq notions importantes qui démontrent bien l’utilité du CÉLI, aussi bien pour l’épargnant que pour l’investisseur. 1. Le CÉLI est un abri fiscal Une chose est certaine, le CÉLI demeure une façon efficace de voir vos placements croître tout en vous assurant de les garder à l’abri de l’impôt. En effet, une fois que les fonds y sont déposés, le capital, les intérêts et les dividendes s’accumulent sans que vous ayez à les ajouter à vos revenus imposables au moment de vos déclarations annuelles. Et ce n’est pas tout, les retraits que vous réalisez restent eux aussi toujours libres d’impôt. Prenez note que contrairement aux sommes placées dans un REER, les cotisations au CÉLI ne sont pas déductibles du revenu imposable et que vous ne recevez pas de feuillets fiscaux à joindre à votre déclaration de revenus. 2. Vous pouvez piger dans votre CÉLI quand vous voulez C’est bien vrai! Votre compte CÉLI vous donne la possibilité d’effectuer des retraits au besoin, et ce, sans aucune incidence fiscale. Mais évidemment, il faudra vous assurer de choisir des placements accessibles en tout temps. Et dans ce domaine comme dans bien d’autres, la modération a bien meilleur goût! En effet, si vous profitez trop souvent de la souplesse de votre CÉLI pour y retirer de l’argent, les revenus qu’il génère à l’abri de l’impôt seront limités. 3. Votre CÉLI peut vous aider à acheter une propriété Bien entendu, vous pouvez vous servir de l’épargne accumulée dans votre CÉLI lorsque vous achetez une résidence. N’oubliez pas de bien choisir vos placements si vous souhaitez accéder facilement à vos liquidités. S’il s’agit de votre première maison et si vous prévoyez d’effectuer cette importante transaction d’ici quelques années, vous auriez peut-être intérêt à adopter la stratégie suivante :
  • cotisez autant que vous le pouvez dans votre CÉLI;
  • retirez les fonds de votre CÉLI pour les transférer à votre REER, si vos droits de cotisation REER vous le permettent, et réduisez ainsi votre impôt à payer pour l’année en cours;
  • retirez jusqu’à 35 000 $ de votre REER, exempts d’impôt, en vertu du Régime d’accession à la propriété (RAP), et utilisez la somme obtenue comme mise de fonds initiale pour l’acquisition de votre future propriété;
  • remboursez le montant retiré de votre REER sur une période de 15 ans, et ce, sans intérêts.
4. Aucun revenu minimal n’est requis pour cotiser au CÉLI Votre investissement dans un CÉLI ne peut dépasser vos droits de cotisation qui vous sont attribués annuellement et qui s’accumulent depuis 2009 ou depuis vos 18 ans. Sachez toutefois qu’il n’y a pas de cotisation minimale. Ainsi, vous pourriez avoir recours aux versements automatiques pour placer de petites sommes à intervalle régulier, qui s’apprécieront avec le temps grâce aux revenus générés à l’abri de l’impôt. 5. Le CÉLI et le REER vont bien ensemble Plusieurs facteurs (âge, revenus, objectifs, projets, situation familiale) entrent en ligne de compte lorsque vous avez des sommes à investir et devez choisir entre le CÉLI et le REER. Ces deux régimes fiscaux font bon ménage, mais de façon générale, vous devriez privilégier le REER si votre priorité est d’épargner en vue de la retraite. À l’inverse, le CÉLI constituerait un meilleur choix si vous voulez pouvoir profiter de l’argent qui s’y trouve pour donner vie aux projets qui vous animent à moyen ou long terme. Si vous vous reconnaissez dans l’une des situations ci-dessous, le CÉLI pourrait vraisemblablement vous convenir!
  • Vous prévoyez que vos revenus des prochaines années seront stables ou en baisse.
  • Vous cotisez déjà à un fonds de retraite de votre employeur.
  • Vous avez utilisé tous vos droits de cotisation REER.
  • Vous souhaitez économiser pour réaliser un projet qui vous tient à cœur d’ici quelques années.
D’autres bons points à retenir au sujet du CÉLI
  • Il faut être âgé de 18 ans et plus et résider au Canada pour cotiser à un CÉLI.
  • Si vous n’avez jamais contribué à un CÉLI depuis la création en 2009 de ce véhicule de placement fiscalement avantageux et que vous aviez 18 ans ou plus en 2009, votre plafond de droits de cotisation est de 75 500 $ en 2021.
  • Les retraits effectués de votre CÉLI au cours d’une année s’ajoutent à vos droits de cotisation dès l’année suivante.

Avec cette année qui s’annonce plus encourageante que la dernière, votre niveau de confiance est à la hausse et vous vous promettez de faire des efforts pour injecter une bonne dose de vitamines à votre épargne. Il s’agit là d’une excellente résolution et le compte d’épargne libre d’impôt (CÉLI) pourrait bien devenir la solution qui vous aidera à la tenir!

Puisque ce véhicule de placement vous permet de générer des revenus exempts d’impôt, c’est l’outil rêvé pour faire fructifier l’argent que vous mettez de côté en vue de concrétiser des projets à moyen ou long terme. Que vous cherchiez à économiser pour acheter une maison, vous constituer un fonds d’urgence pour faire face aux imprévus ou accumuler des fonds pour votre retraite, le CÉLI est le choix tout désigné.

Voici cinq notions importantes qui démontrent bien l’utilité du CÉLI, aussi bien pour l’épargnant que pour l’investisseur.

1. Le CÉLI est un abri fiscal
Une chose est certaine, le CÉLI demeure une façon efficace de voir vos placements croître tout en vous assurant de les garder à l’abri de l’impôt. En effet, une fois que les fonds y sont déposés, le capital, les intérêts et les dividendes s’accumulent sans que vous ayez à les ajouter à vos revenus imposables au moment de vos déclarations annuelles. Et ce n’est pas tout, les retraits que vous réalisez restent eux aussi toujours libres d’impôt.

Prenez note que contrairement aux sommes placées dans un REER, les cotisations au CÉLI ne sont pas déductibles du revenu imposable et que vous ne recevez pas de feuillets fiscaux à joindre à votre déclaration de revenus.

2. Vous pouvez piger dans votre CÉLI quand vous voulez
C’est bien vrai! Votre compte CÉLI vous donne la possibilité d’effectuer des retraits au besoin, et ce, sans aucune incidence fiscale. Mais évidemment, il faudra vous assurer de choisir des placements accessibles en tout temps.

Et dans ce domaine comme dans bien d’autres, la modération a bien meilleur goût! En effet, si vous profitez trop souvent de la souplesse de votre CÉLI pour y retirer de l’argent, les revenus qu’il génère à l’abri de l’impôt seront limités.

3. Votre CÉLI peut vous aider à acheter une propriété
Bien entendu, vous pouvez vous servir de l’épargne accumulée dans votre CÉLI lorsque vous achetez une résidence. N’oubliez pas de bien choisir vos placements si vous souhaitez accéder facilement à vos liquidités.

S’il s’agit de votre première maison et si vous prévoyez d’effectuer cette importante transaction d’ici quelques années, vous auriez peut-être intérêt à adopter la stratégie suivante :

  • cotisez autant que vous le pouvez dans votre CÉLI;
  • retirez les fonds de votre CÉLI pour les transférer à votre REER, si vos droits de cotisation REER vous le permettent, et réduisez ainsi votre impôt à payer pour l’année en cours;
  • retirez jusqu’à 35 000 $ de votre REER, exempts d’impôt, en vertu du Régime d’accession à la propriété (RAP), et utilisez la somme obtenue comme mise de fonds initiale pour l’acquisition de votre future propriété;
  • remboursez le montant retiré de votre REER sur une période de 15 ans, et ce, sans intérêts.

4. Aucun revenu minimal n’est requis pour cotiser au CÉLI
Votre investissement dans un CÉLI ne peut dépasser vos droits de cotisation qui vous sont attribués annuellement et qui s’accumulent depuis 2009 ou depuis vos 18 ans. Sachez toutefois qu’il n’y a pas de cotisation minimale. Ainsi, vous pourriez avoir recours aux versements automatiques pour placer de petites sommes à intervalle régulier, qui s’apprécieront avec le temps grâce aux revenus générés à l’abri de l’impôt.

5. Le CÉLI et le REER vont bien ensemble
Plusieurs facteurs (âge, revenus, objectifs, projets, situation familiale) entrent en ligne de compte lorsque vous avez des sommes à investir et devez choisir entre le CÉLI et le REER.
Ces deux régimes fiscaux font bon ménage, mais de façon générale, vous devriez privilégier le REER si votre priorité est d’épargner en vue de la retraite. À l’inverse, le CÉLI constituerait un meilleur choix si vous voulez pouvoir profiter de l’argent qui s’y trouve pour donner vie aux projets qui vous animent à moyen ou long terme.

Si vous vous reconnaissez dans l’une des situations ci-dessous, le CÉLI pourrait vraisemblablement vous convenir!

  • Vous prévoyez que vos revenus des prochaines années seront stables ou en baisse.
  • Vous cotisez déjà à un fonds de retraite de votre employeur.
  • Vous avez utilisé tous vos droits de cotisation REER.
  • Vous souhaitez économiser pour réaliser un projet qui vous tient à cœur d’ici quelques années.

D’autres bons points à retenir au sujet du CÉLI

  • Il faut être âgé de 18 ans et plus et résider au Canada pour cotiser à un CÉLI.
  • Si vous n’avez jamais contribué à un CÉLI depuis la création en 2009 de ce véhicule de placement fiscalement avantageux et que vous aviez 18 ans ou plus en 2009, votre plafond de droits de cotisation est de 75 500 $ en 2021.
  • Les retraits effectués de votre CÉLI au cours d’une année s’ajoutent à vos droits de cotisation dès l’année suivante.
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