La retraite approchant, vous avez peut-être déjà réduit votre rythme de travail et vous savez maintenant un peu mieux à quoi vous attendre pour la suite. Vous réalisez aussi que vos engagements financiers sont moins élevés. En effet, si vous avez des enfants, ceux-ci voleront bientôt de leurs propres ailes, si ce n’est pas déjà le cas. De plus, votre maison est possiblement payée ou presque, ce qui enlève un poids considérable sur vos finances. Dans de telles conditions, vous pourriez donc disposer d’un surplus de liquidités que vous auriez avantage à utiliser pour faire croître votre épargne pendant la planification de votre retraite, ainsi que tout au long de celle-ci. De cette façon, vous auriez l’occasion de profiter de votre seconde vie comme vous l’imaginez, en réduisant les risques d’épuiser vos ressources financières en chemin. Ceci étant dit, pensez au CÉLI! Que vous soyez en planification active de la retraite, jeune retraité ou retraité avec expérience, le CÉLI reste toujours un véhicule de placement des plus intéressants, aussi bien dans une optique d’investissement que d’épargne. Pourquoi celui-ci est-il devenu aussi populaire au fil des ans? Sans aucun doute parce que les revenus qu’il génère sont exempts d’impôt et que des retraits peuvent y être effectués, sans aucune répercussion fiscale. Mais le compte d’épargne libre d’impôt possède bien d’autres atouts et en voici d’ailleurs trois auxquels vous devriez porter attention, surtout si la retraite fait partie de vos plans à court ou moyen terme. 1. Toutes les raisons sont bonnes pour cotiser au CÉLI C’est vrai que le CÉLI peut répondre à plusieurs besoins, mais il s’avère particulièrement avantageux si vous vivez l’une des situations suivantes :
  • Vous voulez réaliser certains projets qui vous tiennent à cœur
    • Le CÉLI vous donne accès à votre gré aux fonds déposés, sans avoir à payer d’impôt. Cette grande souplesse vous permet de retirer de l’argent pour acheter la voiture dont vous rêvez, financer des rénovations à votre goût ou concrétiser tout autre projet qui vous est cher.
  • Vous avez utilisé tous vos droits de cotisation REER
    • Grâce au CÉLI, vous pouvez bénéficier d’un moyen supplé­mentaire d’amasser des sommes qui pourront fructifier à l’abri de l’impôt et vous aideront à faire grandir votre épargne.
  • Vous souhaitez continuer à épargner une fois à la retraite
    • À compter de l’année où vous soufflez vos 72 bougies, vous ne pouvez plus contribuer à votre REER, mais vous avez cependant la possibilité d’opter pour le CÉLI si vous désirez continuer à épargner, celui-ci ne comportant aucune limite d’âge. À noter que les cotisations autorisées et non utilisées depuis 2009 s’accumulent et peuvent être récupérées plus tard, et que tout retrait effectué au cours d’une année s’ajoute aux droits de cotisation de l’année suivante.
2. Le CÉLI ne vous empêche pas de profiter de divers crédits et prestations du gouverne­ment Puisque les sommes que vous sortez de votre CÉLI ne sont pas imposables, vous ne devez pas les ajouter à votre déclaration de revenus. Par conséquent, ces retraits n’ont aucune répercussion sur votre admissibilité aux crédits et prestations du gouvernement fédéral fondés sur le revenu tels que :
  • l’allocation canadienne pour les travailleurs (ACT);
  • le Supplément de revenu garanti (SRG);
  • le crédit pour la taxe sur les produits et services (TPS).
3. Le CÉLI peut être cédé Contrairement au REER, le CÉLI n’est pas assujetti aux règles du patrimoine familial. Il pourrait toutefois faire partie des biens partageables, selon le régime matrimonial régissant votre couple. En cas de décès, votre CÉLI peut être transmis à votre conjoint(e) ou à vos héritiers, en fonction de ce que vous aurez précisé dans votre testament. Cependant, vous devez savoir que vos droits inutilisés de cotisation au CÉLI sont perdus. Transmission au conjoint
  • Les fonds au décès sont transférés dans le CÉLI du conjoint où ils pourront continuer à croître.
  • Il n’y a aucune incidence sur les droits de cotisation personnels du conjoint, même s’ils sont tous utilisés.
  • Les sommes transférées dans le CÉLI du conjoint sont toujours exemptées d’impôt.
Transmission aux héritiers
  • Les héritiers n’ont pas d’impôt à payer sur la valeur du CÉLI au décès, seulement sur la plus-value générée après le décès.
  • Si les héritiers ont des droits de cotisation CÉLI, à leur tour ils peuvent bénéficier des avantages du CÉLI en y cotisant les montants dont ils ont hérité.
Vous avez encore des questions concernant le CÉLI? Communiquez avec le Centre de services aux membres au 1 800 463-6984, du lundi au vendredi, de 8 h à 20 h ou par courriel à batirente@dsf.ca.

La retraite approchant, vous avez peut-être déjà réduit votre rythme de travail et vous savez maintenant un peu mieux à quoi vous attendre pour la suite. Vous réalisez aussi que vos engagements financiers sont moins élevés. En effet, si vous avez des enfants, ceux-ci voleront bientôt de leurs propres ailes, si ce n’est pas déjà le cas. De plus, votre maison est possiblement payée ou presque, ce qui enlève un poids considérable sur vos finances.

Dans de telles conditions, vous pourriez donc disposer d’un surplus de liquidités que vous auriez avantage à utiliser pour faire croître votre épargne pendant la planification de votre retraite, ainsi que tout au long de celle-ci. De cette façon, vous auriez l’occasion de profiter de votre seconde vie comme vous l’imaginez, en réduisant les risques d’épuiser vos ressources financières en chemin.

Ceci étant dit, pensez au CÉLI!
Que vous soyez en planification active de la retraite, jeune retraité ou retraité avec expérience, le CÉLI reste toujours un véhicule de placement des plus intéressants, aussi bien dans une optique d’investissement que d’épargne. Pourquoi celui-ci est-il devenu aussi populaire au fil des ans? Sans aucun doute parce que les revenus qu’il génère sont exempts d’impôt et que des retraits peuvent y être effectués, sans aucune répercussion fiscale.

Mais le compte d’épargne libre d’impôt possède bien d’autres atouts et en voici d’ailleurs trois auxquels vous devriez porter attention, surtout si la retraite fait partie de vos plans à court ou moyen terme.

1. Toutes les raisons sont bonnes pour cotiser au CÉLI
C’est vrai que le CÉLI peut répondre à plusieurs besoins, mais il s’avère particulièrement avantageux si vous vivez l’une des situations suivantes :

  • Vous voulez réaliser certains projets qui vous tiennent à cœur
    • Le CÉLI vous donne accès à votre gré aux fonds déposés, sans avoir à payer d’impôt. Cette grande souplesse vous permet de retirer de l’argent pour acheter la voiture dont vous rêvez, financer des rénovations à votre goût ou concrétiser tout autre projet qui vous est cher.
  • Vous avez utilisé tous vos droits de cotisation REER
    • Grâce au CÉLI, vous pouvez bénéficier d’un moyen supplé­mentaire d’amasser des sommes qui pourront fructifier à l’abri de l’impôt et vous aideront à faire grandir votre épargne.
  • Vous souhaitez continuer à épargner une fois à la retraite
    • À compter de l’année où vous soufflez vos 72 bougies, vous ne pouvez plus contribuer à votre REER, mais vous avez cependant la possibilité d’opter pour le CÉLI si vous désirez continuer à épargner, celui-ci ne comportant aucune limite d’âge. À noter que les cotisations autorisées et non utilisées depuis 2009 s’accumulent et peuvent être récupérées plus tard, et que tout retrait effectué au cours d’une année s’ajoute aux droits de cotisation de l’année suivante.

2. Le CÉLI ne vous empêche pas de profiter de divers crédits et prestations du gouverne­ment
Puisque les sommes que vous sortez de votre CÉLI ne sont pas imposables, vous ne devez pas les ajouter à votre déclaration de revenus. Par conséquent, ces retraits n’ont aucune répercussion sur votre admissibilité aux crédits et prestations du gouvernement fédéral fondés sur le revenu tels que :

  • l’allocation canadienne pour les travailleurs (ACT);
  • le Supplément de revenu garanti (SRG);
  • le crédit pour la taxe sur les produits et services (TPS).

3. Le CÉLI peut être cédé
Contrairement au REER, le CÉLI n’est pas assujetti aux règles du patrimoine familial. Il pourrait toutefois faire partie des biens partageables, selon le régime matrimonial régissant votre couple.

En cas de décès, votre CÉLI peut être transmis à votre conjoint(e) ou à vos héritiers, en fonction de ce que vous aurez précisé dans votre testament. Cependant, vous devez savoir que vos droits inutilisés de cotisation au CÉLI sont perdus.

Transmission au conjoint

  • Les fonds au décès sont transférés dans le CÉLI du conjoint où ils pourront continuer à croître.
  • Il n’y a aucune incidence sur les droits de cotisation personnels du conjoint, même s’ils sont tous utilisés.
  • Les sommes transférées dans le CÉLI du conjoint sont toujours exemptées d’impôt.

Transmission aux héritiers

  • Les héritiers n’ont pas d’impôt à payer sur la valeur du CÉLI au décès, seulement sur la plus-value générée après le décès.
  • Si les héritiers ont des droits de cotisation CÉLI, à leur tour ils peuvent bénéficier des avantages du CÉLI en y cotisant les montants dont ils ont hérité.

Vous avez encore des questions concernant le CÉLI?
Communiquez avec le Centre de services aux membres au 1 800 463-6984, du lundi au vendredi, de 8 h à 20 h ou par courriel à batirente@dsf.ca.

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