Le REER est un excellent outil d’épargne pour la retraite. Il vient toutefois avec certaines règles et autres bonnes pratiques à connaître. Voici 4 pièges à éviter pour tirer le meilleur parti de ce régime et ainsi être en mesure de réaliser les projets qui vous tiennent à cœur.

1. Cotiser à la dernière minute

Vous faites partie de ceux et celles qui attendent au dernier moment pour souscrire à leur régime enregistré d’épargne-retraite (REER)? Dans ce sprint final, vous sentirez parfois de la pression pour effectuer votre contribution et hésiterez peut-être devant les nombreuses possibilités qui s’offrent à vous. De plus, lors de la cotisation, vous devez posséder le montant total que vous souhaitez verser, ce qui ne vous permet pas toujours d’investir autant que vous le voudriez. Heureusement, certaines avenues intéressantes s’offrent à vous. N’attendez pas la date limite! Pour que votre cotisation à votre REER soit déductible de votre revenu imposable d’une année donnée, vous devez l’effectuer avant la date limite fixée. Par exemple, pour 2023, votre cotisation doit être faite avant le 29 février 2024. Mais saviez-vous que toutes les saisons sont bonnes pour cotiser? Alors pourquoi attendre la cohue de la fin de février quand vous pouvez contribuer à tout moment et même étaler votre investissement dans le temps? En faisant des dépôts durant toute l’année dans votre REER, vous accumulez rapidement des sommes à l’abri de l’impôt, les intérêts s’ajoutent régulièrement et vous maintenez une présence continue sur les marchés. Investissez par versements automatiques Vous pouvez enregistrer vous-même la somme et la fréquence de vos prélèvements et le reste se fait automatiquement. Par exemple, au lieu de débourser 1 500 $ d’un seul coup pour votre REER en février, vous pourriez voir chaque semaine 30 $ passer directement de votre compte d’opérations ou de votre paie à votre REER. Voilà une belle façon de gérer vos finances efficacement dans le tourbillon du quotidien! En plus de vous simplifier la vie, les versements automatiques :
  • se planifient facilement dans votre budget;
  • vous aident à développer de bonnes habitudes d’épargne;
  • s’intègrent à votre routine sans que vous ayez l’impression de vous priver;
  • peuvent être déposés dans différents véhicules de placement.

2. Attendre pour investir

En prenant l’habitude d’épargner régulièrement de petits montants, vous amassez des fonds en vue de votre retraite, de l’achat d’une maison ou de tout autre projet sans trop vous en rendre compte. Si vous commencez à mettre de l’argent de côté dès votre entrée sur le marché du travail, vous vous donnez encore plus de latitude pour profiter de la vie comme vous le souhaitez, et ce, plus vite que vous pourriez le penser! C’est mathématique! Plus vous cotisez tôt et régulièrement, plus votre épargne a le temps de fructifier.

3. Se retirer des marchés boursiers lorsqu’ils bougent beaucoup

Personne n’apprécie les fluctuations boursières. La plupart des investisseurs commencent à être préoccupés lorsque les bourses jouent au yo-yo! C’est peut-être votre cas. Rassurez-vous, c’est tout à fait normal. Mais dites-vous bien que tout ce qui monte redescend… et que l’inverse est aussi vrai. En vous retirant des marchés en période de volatilité élevée, vous risquez de nuire au rendement à long terme de vos placements. En maintenant le cap sur votre stratégie à long terme, vous êtes en meilleure position pour atteindre vos objectifs.

4. Ne pas respecter sa stratégie de placement

Comme vous le savez, derrière chaque portefeuille, il y a une stratégie de placement à long terme qui tient compte de vos objectifs, de votre profil d’investisseur et de votre degré de tolérance au risque. Vous devez choisir vos placements en fonction de votre situation et de votre stratégie de placement et non pas de suggestions de parents ou de connaissances. Voici deux petits conseils à retenir pour votre bien et celui de votre portefeuille :
  • Pensez à long terme et ne succombez pas à la tentation d’entrer ou de sortir des marchés à tout moment.
  • Rappelez-vous qu’un portefeuille complexe n’est pas automatiquement plus diversifié et n’ajoute pas nécessairement de valeur à votre stratégie de placement.

Le REER est un excellent outil d’épargne pour la retraite. Il vient toutefois avec certaines règles et autres bonnes pratiques à connaître.

Voici 4 pièges à éviter pour tirer le meilleur parti de ce régime et ainsi être en mesure de réaliser les projets qui vous tiennent à cœur.

1. Cotiser à la dernière minute

Vous faites partie de ceux et celles qui attendent au dernier moment pour souscrire à leur régime enregistré d’épargne-retraite (REER)? Dans ce sprint final, vous sentirez parfois de la pression pour effectuer votre contribution et hésiterez peut-être devant les nombreuses possibilités qui s’offrent à vous. De plus, lors de la cotisation, vous devez posséder le montant total que vous souhaitez verser, ce qui ne vous permet pas toujours d’investir autant que vous le voudriez. Heureusement, certaines avenues intéressantes s’offrent à vous.

N’attendez pas la date limite!
Pour que votre cotisation à votre REER soit déductible de votre revenu imposable d’une année donnée, vous devez l’effectuer avant la date limite fixée. Par exemple, pour 2023, votre cotisation doit être faite avant le 29 février 2024. Mais saviez-vous que toutes les saisons sont bonnes pour cotiser? Alors pourquoi attendre la cohue de la fin de février quand vous pouvez contribuer à tout moment et même étaler votre investissement dans le temps?

En faisant des dépôts durant toute l’année dans votre REER, vous accumulez rapidement des sommes à l’abri de l’impôt, les intérêts s’ajoutent régulièrement et vous maintenez une présence continue sur les marchés.

Investissez par versements automatiques
Vous pouvez enregistrer vous-même la somme et la fréquence de vos prélèvements et le reste se fait automatiquement. Par exemple, au lieu de débourser 1 500 $ d’un seul coup pour votre REER en février, vous pourriez voir chaque semaine 30 $ passer directement de votre compte d’opérations ou de votre paie à votre REER. Voilà une belle façon de gérer vos finances efficacement dans le tourbillon du quotidien!

En plus de vous simplifier la vie, les versements automatiques :

  • se planifient facilement dans votre budget;
  • vous aident à développer de bonnes habitudes d’épargne;
  • s’intègrent à votre routine sans que vous ayez l’impression de vous priver;
  • peuvent être déposés dans différents véhicules de placement.

2. Attendre pour investir

En prenant l’habitude d’épargner régulièrement de petits montants, vous amassez des fonds en vue de votre retraite, de l’achat d’une maison ou de tout autre projet sans trop vous en rendre compte. Si vous commencez à mettre de l’argent de côté dès votre entrée sur le marché du travail, vous vous donnez encore plus de latitude pour profiter de la vie comme vous le souhaitez, et ce, plus vite que vous pourriez le penser!

C’est mathématique! Plus vous cotisez tôt et régulièrement, plus votre épargne a le temps de fructifier.

3. Se retirer des marchés boursiers lorsqu’ils bougent beaucoup

Personne n’apprécie les fluctuations boursières. La plupart des investisseurs commencent à être préoccupés lorsque les bourses jouent au yo-yo! C’est peut-être votre cas. Rassurez-vous, c’est tout à fait normal. Mais dites-vous bien que tout ce qui monte redescend… et que l’inverse est aussi vrai. En vous retirant des marchés en période de volatilité élevée, vous risquez de nuire au rendement à long terme de vos placements.

En maintenant le cap sur votre stratégie à long terme, vous êtes en meilleure position pour atteindre vos objectifs.

4. Ne pas respecter sa stratégie de placement

Comme vous le savez, derrière chaque portefeuille, il y a une stratégie de placement à long terme qui tient compte de vos objectifs, de votre profil d’investisseur et de votre degré de tolérance au risque.

Vous devez choisir vos placements en fonction de votre situation et de votre stratégie de placement et non pas de suggestions de parents ou de connaissances. Voici deux petits conseils à retenir pour votre bien et celui de votre portefeuille :

  • Pensez à long terme et ne succombez pas à la tentation d’entrer ou de sortir des marchés à tout moment.
  • Rappelez-vous qu’un portefeuille complexe n’est pas automatiquement plus diversifié et n’ajoute pas nécessairement de valeur à votre stratégie de placement.
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