CONJONCTURE, ÉCONOMIE ET MARCHÉS Selon notre partenaire AON, la croissance mondiale s’est poursuivie au troisième trimestre, mais à un rythme plus lent, le variant Delta ayant réduit l’activité économique. Alors que les taux de vaccination continuent d’augmenter, les inquiétudes concernant les goulots d’étranglement dans les chaînes d’approvisionnement et les pressions inflationnistes se sont intensifiées. Les gains des actions au cours du trimestre ont été plutôt modestes, l’indice MSCI Monde affichant un rendement de 0,6 % en devises locales et de 2,3 % en dollars canadiens. Les actions canadiennes ont gagné 0,2 %. La Banque du Canada (BdC) a laissé son taux directeur inchangé, mais a encore réduit son programme d’achat d’obligations à 2 milliards de dollars par semaine en juillet. Cependant, la croissance a ralenti, l’économie canadienne se contractant à un taux annualisé de 1,1 % pour le deuxième trimestre, et ce en grande partie en raison d’un recul du marché du logement et des exportations. Lors de la réunion de septembre de la Réserve fédérale américaine (Fed), neuf des dix-huit membres du Federal Open Market Committee (FOMC) jugeaient que les taux d’intérêt pourraient augmenter en 2022, contre sept membres en juin. La Fed a également signalé son intention d’annoncer, plus tard cette année une réduction de ses achats mensuels d’obligations liés à la pandémie, actuellement fixés à 120 milliards de dollars par mois. La Banque centrale européenne (BCE) a décidé de ralentir le rythme de son programme mensuel d’achats d’urgence face à la pandémie (PEPP) au cours du prochain trimestre, invoquant un fort rebond de la croissance et de l’inflation dans la zone euro. La BCE achetait pour 80 milliards d’euros par mois dans le cadre de ce programme temporaire qui devrait prendre fin en mars 2022 selon l’ordonnance initiale. Le PEPP était un outil supplémentaire que la BCE a utilisé en conjonction avec son programme régulier d'achat d'obligations. Ce dernier devrait être maintenu après l'expiration du PEPP. PERFORMANCE DES FONDS BÂTIRENTE À l’instar des deux premiers trimestres de 2021, les Fonds diversifiés Bâtirente ont connu une performance positive au troisième trimestre en affichant des rendements entre 0,8 % et 1,3 % selon leur profil de risque. Sur les cinq dernières années, les Fonds diversifiés ont produit des rendements annualisés variant entre 3,8 % et 9,3 %, ce qui est largement supérieur à l’inflation. La performance positive des Fonds diversifiés Bâtirente au troisième trimestre s’explique en grande partie par la performance de nos différents portefeuilles d’actions et de notre portefeuille d’actifs réels cotés ESG. Le Fonds Bâtirente Actions canadiennes Multi a produit un rendement absolu de 0,8 %. Il a ajouté 0,6 % par rapport à l’indice du marché. La surperformance s’explique notamment par la bonne sélection de titres de l’un de nos gestionnaires (Triasima). Par ailleurs, le Fonds Bâtirente Actions mondiales Multi a obtenu un rendement total de 1,8 %. De son côté, le Fonds Bâtirente Actions mondiales à faible capitalisation Multi a réalisé une performance de 2,2 %. De plus, le portefeuille d’Actions mondiales à faible volatilité (GPTD) a obtenu un rendement de 3,4 %. Il a ajouté 1,0 % par rapport à l’indice de marché. Finalement, le portefeuille d’actifs réels côtés ESG a réalisé un rendement de 2,6 % (1,2 % au-dessus de l’indice de marché). Ce portefeuille comporte des titres liés aux secteurs de l’immobilier et de l’infrastructure. Les Fonds de titres à revenu fixe ont obtenu un rendement légèrement positif. La surpondération en crédits a contribué au rendement de 0,3 % du Fonds Bâtirente Trésorerie Multi et de 0,1 % du Fonds Bâtirente Obligations Multi. Aussi, le positionnement en crédit a permis de d’obtenir de meilleures performances que les indices de marché. Pour en savoir plus sur les Fonds Bâtirente et obtenir les rendements à jour, consultez notre section sur les fonds.

CONJONCTURE, ÉCONOMIE ET MARCHÉS
Selon notre partenaire AON, la croissance mondiale s’est poursuivie au troisième trimestre, mais à un rythme plus lent, le variant Delta ayant réduit l’activité économique. Alors que les taux de vaccination continuent d’augmenter, les inquiétudes concernant les goulots d’étranglement dans les chaînes d’approvisionnement et les pressions inflationnistes se sont intensifiées. Les gains des actions au cours du trimestre ont été plutôt modestes, l’indice MSCI Monde affichant un rendement de 0,6 % en devises locales et de 2,3 % en dollars canadiens. Les actions canadiennes ont gagné 0,2 %.

La Banque du Canada (BdC) a laissé son taux directeur inchangé, mais a encore réduit son programme d’achat d’obligations à 2 milliards de dollars par semaine en juillet. Cependant, la croissance a ralenti, l’économie canadienne se contractant à un taux annualisé de 1,1 % pour le deuxième trimestre, et ce en grande partie en raison d’un recul du marché du logement et des exportations.

Lors de la réunion de septembre de la Réserve fédérale américaine (Fed), neuf des dix-huit membres du Federal Open Market Committee (FOMC) jugeaient que les taux d’intérêt pourraient augmenter en 2022, contre sept membres en juin. La Fed a également signalé son intention d’annoncer, plus tard cette année une réduction de ses achats mensuels d’obligations liés à la pandémie, actuellement fixés à 120 milliards de dollars par mois.

La Banque centrale européenne (BCE) a décidé de ralentir le rythme de son programme mensuel d’achats d’urgence face à la pandémie (PEPP) au cours du prochain trimestre, invoquant un fort rebond de la croissance et de l’inflation dans la zone euro. La BCE achetait pour 80 milliards d’euros par mois dans le cadre de ce programme temporaire qui devrait prendre fin en mars 2022 selon l’ordonnance initiale. Le PEPP était un outil supplémentaire que la BCE a utilisé en conjonction avec son programme régulier d’achat d’obligations. Ce dernier devrait être maintenu après l’expiration du PEPP.

PERFORMANCE DES FONDS BÂTIRENTE
À l’instar des deux premiers trimestres de 2021, les Fonds diversifiés Bâtirente ont connu une performance positive au troisième trimestre en affichant des rendements entre 0,8 % et 1,3 % selon leur profil de risque.

Sur les cinq dernières années, les Fonds diversifiés ont produit des rendements annualisés variant entre 3,8 % et 9,3 %, ce qui est largement supérieur à l’inflation.

La performance positive des Fonds diversifiés Bâtirente au troisième trimestre s’explique en grande partie par la performance de nos différents portefeuilles d’actions et de notre portefeuille d’actifs réels cotés ESG.

Le Fonds Bâtirente Actions canadiennes Multi a produit un rendement absolu de 0,8 %. Il a ajouté 0,6 % par rapport à l’indice du marché. La surperformance s’explique notamment par la bonne sélection de titres de l’un de nos gestionnaires (Triasima). Par ailleurs, le Fonds Bâtirente Actions mondiales Multi a obtenu un rendement total de 1,8 %. De son côté, le Fonds Bâtirente Actions mondiales à faible capitalisation Multi a réalisé une performance de 2,2 %.

De plus, le portefeuille d’Actions mondiales à faible volatilité (GPTD) a obtenu un rendement de 3,4 %. Il a ajouté 1,0 % par rapport à l’indice de marché.

Finalement, le portefeuille d’actifs réels côtés ESG a réalisé un rendement de 2,6 % (1,2 % au-dessus de l’indice de marché). Ce portefeuille comporte des titres liés aux secteurs de l’immobilier et de l’infrastructure.

Les Fonds de titres à revenu fixe ont obtenu un rendement légèrement positif. La surpondération en crédits a contribué au rendement de 0,3 % du Fonds Bâtirente Trésorerie Multi et de 0,1 % du Fonds Bâtirente Obligations Multi. Aussi, le positionnement en crédit a permis de d’obtenir de meilleures performances que les indices de marché.

Pour en savoir plus sur les Fonds Bâtirente et obtenir les rendements à jour, consultez notre section sur les fonds.

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